Navarro - Saison 4

Suite à une méprise, un dangereux criminel est remis en liberté... Des femmes, blondes, sont retrouvées assassinées, le corps barbouillé de peinture rouge... C'est de cette façon que le meurtrier signe ses actes crapuleux. Sa dernière victime, qui a miraculeusement échappé à la mort, identifie bientôt un suspect. L'inspecteur Navarro est alors certain de tenir l'assassin mais entretemps, un autre meurtre a lieu, dans les mêmes circonstances que les précédents, et le suspect numéro un est relâché. Hélas, le crime qui vient d'être commis est un crime passionnel, et Navarro réalise alors qu'il vient de remettre un tueur fou en liberté.

Chaque année, un contrat est passé entre l'administration policière et un fournisseur d'uniformes. Celui-ci sous-traite avec les ateliers du Senlier, lesquels utilisent de la main-d'oeuvre clandestine. Ainsi donc, les policiers sont chargés de débusquer ceux-là mêmes qui confectionnent leurs vêtements... Un jour qu'une jeune recrue de Navarro enfile une tenue neuve, il trouve dans la poche du blouson un message de détresse. Surprise et point de départ de la nouvelle enquête de Navarro. Qui peut bien envoyer un SOS par cet inattendu moyen de communication ? Navarro va remonter le fil d'une impitoyable chaîne de trafiquants d'hommes. Véritables négriers du XXème siècle, ils s'enrichissent sur le dos de travailleurs clandestins.

Un casse vient d'avoir lieu rue Calbon, à Paris. C'est par là que transitait l'argent destiné aux banques suisses. Navarro est chargé de l'enquête. Quelques jours plus tard, les derniers clients du casino de Divonne rentrent à Genève par bateau. Parmi les passagers, Gilbert Pontoise. Ce dernier, qui vient de gagner une petite fortune au jeu, se noie, mais l'argent reste introuvable.

Trois personnes innocentes viennent d'être victimes d'un hold-up qui a mal tourné. Un témoin est amené à identifier l'un des bandits. Navarro fait enfermer le coupable, et met le témoin à l'abri, afin de le protéger. Mais Navarro ignore qu'au sein même du commissariat, l'un de ses collègues a lui-même été complice des bandits